mardi 8 juillet 2014

Chatte hier

Sous l'écriture de Forton, nous sommes comme ces têtes rondes qui cherchent la caresse, bercées jusqu'à ce que vienne le coup de pied au derrière.

« C’est à des riens que je mesure mon âge et je m’effraye des profondes transformations qui se sont opérées en moi, à mon insu. Un mot, une phrase, me replongent soudain dans le passé. Je me retrouve intact, tel que je fus à quinze ans, à vingt ans. Je me heurte à celui que j’étais alors et qui m’est désormais étranger. » 
Jean Forton, La cendre aux yeux




2 commentaires:

  1. Maintenant que la jeunesse
    s'éteint au carreau bleui
    maintenant que la jeunesse
    machinale m'a trahi...

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  2. ...Ah oui ! Louis ! Ecoutons le, Catherine, chanté par Francesca :
    https://www.youtube.com/watch?v=ZyuaDoDHXFg

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