On voit, à contempler ma mine
D'Abyssinienne ou de Cafrine,
Que mon maître est un grand fumeur.
Quand il est comblé de douleur,
Je fume comme la chaumine
Où se prépare la cuisine
Pour le retour du laboureur.
J'enlace et je berce son âme
Dans le réseau mobile et bleu
Qui monte de ma bouche en feu,
Et je roule un puissant dictame
Qui charme son coeur et guérit
De ses fatigues son esprit. »
D'Abyssinienne ou de Cafrine,
Que mon maître est un grand fumeur.
Quand il est comblé de douleur,
Je fume comme la chaumine
Où se prépare la cuisine
Pour le retour du laboureur.
J'enlace et je berce son âme
Dans le réseau mobile et bleu
Qui monte de ma bouche en feu,
Et je roule un puissant dictame
Qui charme son coeur et guérit
De ses fatigues son esprit. »
On s'est interrogé au dîner à propos de Charles.
Son éditeur n'aurait-il pas tout simplement fait une coquille pour les fleurs du mâle ?
Tant qu'à être Caffre autant fonctionner en noir... et blanc et dire comme l'autre Charles : pathé... tique.
RépondreSupprimerFumez du gris et vous verrez la vie en rose !
SupprimerParole de daltonienne, mon cher Bootis !