Sous l'écriture de Forton, nous sommes comme ces têtes rondes qui cherchent la caresse, bercées jusqu'à ce que vienne le coup de pied au derrière.
« C’est à des riens que je mesure mon âge et je m’effraye des profondes transformations qui se sont opérées en moi, à mon insu. Un mot, une phrase, me replongent soudain dans le passé. Je me retrouve intact, tel que je fus à quinze ans, à vingt ans. Je me heurte à celui que j’étais alors et qui m’est désormais étranger. »
Jean Forton, La cendre aux yeux
Maintenant que la jeunesse
RépondreSupprimers'éteint au carreau bleui
maintenant que la jeunesse
machinale m'a trahi...
...Ah oui ! Louis ! Ecoutons le, Catherine, chanté par Francesca :
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=ZyuaDoDHXFg