Parfois, je me laisse faire. Je reste suspendue à elle comme au sein de ma mère. Fébrile et apaisée à la fois. Le temps se déchire dans sa fumée. Il avance masqué. La cendre n'est pas encore froide qu'il me faut la rallumer pour gagner encore un peu de sa chaleur. Mes dents s'agrippent à elle. La morsure du tabac me répond. Qui fume qui ?
J'adore... Je serai fumeur, je me laisserais tenter pour essayer de répondre à la question
RépondreSupprimerbelle description de la fusion d'un "homme" et sa bouffarde
RépondreSupprimer